Antoine de Bertrand

Antoine de Bertrand (?–1580)
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Adieu, adieu, ma nimphette amiable
Amour archer d’une tirade ront
Amour me tue, et si ne je veux dire
Amour, donne moy paix ou treve
Amy, quand tu mourras
Avecques moy pleurer vous devriez bien
Beaute dont la douceur pourroit vaincre les Roys
Beaute qui, sans pareille, as des hautz cieux
Bien qu’a grand tort, il te plaist d’allumer
Ce ne sont qu’ains, qu’amorces et qu’apas
Ce ris plus doux que loeuvre d’un abeille
Celuy qui veut scavoir
Certes mon oeil fut trop avantureux
Ces deux yeux bruns, doux flambeaux de ma vie
Ces liens d’or, cette bouche vermeille
Cest humeur vient de mon oeil
Cet oeil besson dont, goulu, je me pais
Dans le serain de sa jumelle flamme
De nuict, le bien que de jour je pourchasse
Demandes-tu, douce ennemie
Devant les yeux, nuit et jour me revient
Dittes, maitresse, he que vous ay-je fait!
Donques pour trop aymer il faut que je trespasse
Douce beaute a qui je doy la vie
Douce beaute qui me tenez le coeur
Doux fut le trait, qu’Amour hors de sa trousse
Du feu chaut l’ardente fureur
Ha Seigneur Dieu, que de graces ecloses
Hastez vous, petite folle
He, Dieu du ciel, je n’eusse pas pense
Heureuse fut l’estoille fortunee
Hola, Caron, nautonnier infernal
Jamais on n`a que tristesses
Je meurs, helas ! je meurs, mon angelette
Je meurs, helas, quand je la voy si belle
Je ne scaurois aymer autre que vous
Je ne suis seulement amoureux de Marie
Je parangonne a ta jeune beaute
Je parangonne au soleil que j’adore
Je suis tellement amoureux
Je suis un demi-dieu
Je veux chanter en ces vers ma tristesse
Je veux mourir pour tes beautez, Maistresse
Je voudrois estre Ixion et Tantale
Je vy ma Nymphe entre cent damoiselles
Las ! O pauvre Didon
Las ! pleust a Dieu n’avoir jamais taste
Las je me plains de mile et mile et mile
Las! pour vous trop aymer, je ne vous puis aymer
Las! sans espoir je languis a grand tort
Le ciel ne veut, Dame, que je jouisse
Le coeur loyal qui n’a l’ocasion
Marie, qui voudroit vostre nom retourner
Mignonne, baisez moy, non, ne me baisez pas
Mon Dieu, mon Dieu, que ma maistresse est belle
Nature ornant la dame qui devoit
O Dieux, permettez moy
O doux plaisir, o mon plaisant dommage
Oil qui mes pleurs de tes rayons essuye
Plus que jamais je veux aymer
Pour-ce que tu scay bien que je t’ayme mieux
Pourquoy tournez vous voz yeux
Prenez mon coeur, dame, prenez mon coeur
Pucelle, en qui la triple grace
Quand en songeant ma folastre j’acole
Quand je serois un Turc, un Arabe ou un Scythe
Quand je vous dys Adieu, Dame, mon seul apuy
Quand ma maistresse au monde print naissance
Qui voudra voir comme un Dieu me surmonte
Qui voudra voir dedans une jeunesse
Qu’en tout endroit toute chose se mue
Si doucement le souvenir me tente
Si jamais homme en aymant fut heureux
Sommeillez vous, ma belle Aurore
Sur moy, Seigneur, ta main pesante et dure
S’il advient au combat
S’il est ainsi que tu m’aymes, mignonne
Telle qu’elle est dedans ma souvenance
Tes yeux divins me promettent le don
Tout me deplait, mais rien ne m’est si grief
Tu dis que c’est mignarde
Tutto lo giorno piango
Veu que tu es plus blanche que le liz
Vivons, mignarde, en nos amours
Vous ne le voulez pas, et bien, j’en suis content
 
     

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